La FEP tient ce jeudi son assemblée générale à Paris. L’occasion pour faire le point sur une année riche en évolution sociales et règlementaires pour la profession, mais aussi pour confirmer la dynamique mise en place par son président, Max Massa, élu il y a un an à la tête de l’organisation patronale.

La 47è assemblée générale de la FEP –qui se réunit pour la première fois sur une seule journée-  se tient aujourd’hui dans le cadre prestigieux du Pré Catelan, dans le bois de Boulogne à Paris. Un menu pour le moins copieux pour les différentes chambres régionales et leurs adhérents qui évoqueront plus particulièrement les mesures et les évolutions liées à l’emploi dans le secteur de la propreté. Contrats de génération en décembre 2014, accord sur la prime annuelle en mars puis, plus récemment choix d’un prestataire dans le cadre d’un régime frais de santé pour les salariés non cadres, l’importance de cette actualité sociale a permis à Max Massa d’insister sur le fait que « la branche de la propreté a toujours eu une forte culture du dialogue social, les récentes avancées en étant une démonstration. »

Le président de la FEP a part ailleurs rappelé les « chantiers structurants » des mois à venir qu’il s’agisse de pénibilité, de santé au travail, ou encore d’égalité professionnelle. Un autre axe d’évolution sera aussi largement abordé au cours des échanges, celui du travail en journée et de la continuité du temps de travail pour lutter contre le travail fragmenté et décalé. Pour compléter sa réflexion la FEP a fait appel à un expert extérieur, Bernard Vivier, directeur de l’institut supérieur du travail, venu traiter de la place du syndicalisme en France. Comme chaque année, cette assemblée générale aura aussi été l’occasion de remettre les Trophées développement durable de la propreté.